Weekly photo challenge : Work of art
I like so much street art !!!!
Here is a new fresco
And some of my favorite that I already post on my blog
Weekly photo challenge : Work of art
I like so much street art !!!!
Here is a new fresco
And some of my favorite that I already post on my blog
Pour ceux qui me suivent depuis le mois de Novembre 2013, vous avez pu découvrir une grande partie des oeuvres exposées dans cette tour (pour les autres c’est ici)
Voici la fin d’une aventure qui a réunit plus de 100 street artistes et qui ont permis à des passionnées ou des novices comme moi de découvrir le street art.C’est un peu triste mais c’est aussi ça le street art : l’éphémère.
Cette tour a été un tournant pour moi car la naissance d’une passion qui outre la beauté des fresques de certains me permet d’allier mon autre passion la photo 🙂
On reconnait Bom.K & Liliwenn , Uriginal, Inti, SteW
Honte à moi j’avais oublié de vous présenter ce magnifique artiste qui crée ses oeuvres à la craie qui sont de toutes beautés
Philippe Baudelocque (France):
Après avoir fait ses armes en graffant sa banlieue au début des année 90, Philippe Baudelocque délaisse ses bombes et ses marqueurs pour un art plus figuratif.
Diplômé des arts Décoratifs de Paris, il débute en 2009 sa série « Cosmic Animals » qu’il réalise dans la rue et à la craie blanche.
Rapidement remarqué pour sa précision et son sens du détail, Philippe Baudelocque explore l’anatomie de son bestiaire constitué d’amas de cellules, composant avec l’aspect éphémère que la rue réserve à ses ouvres fragiles.
Voici le dernier article sur cette merveilleuse exposition, que j’ai eu la chance de visiter le dernier jour d’ouverture, j’espère que vous avez pris autant de plaisir que moi, à partager mes photos avec vous, que vous à les découvrir. Mais le street art ne s’arrête pas à cette expo originale mais éphémère et je m’attellerai à vous faire découvrir les merveilles qui regorgent dans Paris et ses environs.
Marko 93 (France) :
Marko93 plonge dans l’univers du hip-hop à la fin des années 80 et aiguise sa technique en peignant à la fois des lettrages et des personnages.
Au milieu des années 90, il commence à mélanger des formes d’écriture arabe abstraite au graffiti et développe ainsi un style particulier : le kalligraphism.
Toujours en constante recherche, il développe quelques années plus tard sa pratique du « Body Writing » et se lance dans le Light Painting qu’il adapte à la vidéo au début des années 2000.
Néanmoins, il reste fidèle à la peinture, autant à l’aise avec une bombe de peinture qu’avec un pinceau, une brosse ou un balai lorsqu’il s’agit de peindre de grands formats.
Nemi « Uhu » (France) :
Artiste autodidacte, Nemi peint exclusivement à la bombe depuis le début des années 90. Avec un goût prononcé pour le dessin et l’illustration, il écume depuis quelques années les rues de Paris en y collant ses poissons stylisés qu’il utilise comme logo.
Outre la rue qu’il considère comme son principal terrain de jeu, Nemi pratique un art basé sur le recyclage en travaillant sur des supports atypiques tels que le métal oxydé ou encore la faïence.
Parallèlement à la peinture, Nemi développe sa propre marque de produits dérivés réalisés à base de bombes de peinture.
A noter que les yeux de la première fresque sont percés et que le cerveau rouge peint dans l’autre pièce donnait un regard sanglant à ce personnage.
Cekis (Chili) :
Pionnier du mouvement graffiti en Amérique du Sud, Cekis débute sa carrière d’artiste autodidacte dans les rues de Santiago du Chili, un pays fortement marqué par les années noires de la dictature.
Encore lycéen, il commence à dessiner s’inspirant de la culture graffiti new-yorkaise et des revendications sociales et politiques des muralistes chiliens des années 80.
Rapidement, il devient le chef de file de toute une génération de jeunes artistes, son travail contribuant à lancer un mouvement artistique fort autour d’une nouvelle culture urbaine au Chili.
En 2004, Cekis s’installe à New York où il participe désormais à de nombreuses expositions et projets muraux aux Etats-Unis et dans le monde.
Arraiano (Portugal) :
L’univers de Paulo Arraiano se définit par un flow organique de lignes, de formes et de personnages aux couleurs en demi-teinte. Si l’on peut y voir des sortes de masques maléfiques ou des totems mystiques, il faut surtout y chercher un équilibre entre deux mondes opposés.
A partir d’éléments contraires comme le naturel et l’urbain, il cherche à obtenir une image complexe et homogène chargée de contrastes et d’interactions.
Petit à petit,Paulo Arraiano tend à une peinture de plus en plus abstraite et texturée qu’il décline sur une multitude de supports différents.
Hopnn (Italie) :
Issu du graffiti, Yuri se spécialise dans divers procédés d’impression (sérigraphie, gravure,linogravure) lors de ses études aux beaux-arts de Rome. Il change alors de médium et d’échelle à loisir: affiches peintes ou sérigraphies, adhésifs, peintures murales et travaille également en tant qu’illustrateur.
Hopnn (Yuri écrit en caractères cyrilliques) est le tag qui signe ses ouvres à ciel ouvert, notamment ces séries de bicyclettes répétées indéfiniment qui soulignent un de ses thèmes principaux : l’écologie.
Yuri est également très engagé dans la promotion du street art en Europe.
Roti (France) :
Originaire de Haute-Savoie, Roti commence à peindre sur les murs et les trains de marchandises parqués dans son quartier. Fort de son expérience de tailleur de pierre, il navigue entre sculpture, gravure et peinture, proposant des oeuvres teintées d’architecture gothique et symbolisme.
Travaillant autour du thème de la femme et des animaux, il propose un univers riche et varié aux accents souvent morbides.